It is with simplicity that Deviprasad C Rao welcomed us with a cup of tea with his cats and dogs. “Child, I’ve always drawn, I’ve always loved colors, but I’ve never planned as an artist. I dreamed of being an architect, a policeman or even a spy!” He studied Marketing and worked as a Public Relation and as a journalist-reporter at Times Of India, Indian Express …
In 1988, he decided to turn his back on this life to go to what has always attracted him: painting and drawing. In 2002, during a trip to Spain he found Barcelona and his masters Gaudi and Miró. He invents his own language made of lines, dots, drawings, sketches. He is inspired by Miró and Jackson Pollock.
“My paintings are maps, landscapes seen from the sky. Besides, when I fly, I always want to sit near the window and take-off to landing, I look down and remember these contours, these colors, these lines and these points I recreated. Then I always end my paintings with lines and dipping”.
In 2004, he moved to Goa and continues unceasingly to create his world. The meditation helps a lot before starting work. He explores his own identity, his intuition and spontaneity. “The child in me still surprises me. There are no dreams, but visions and wishes.”
And if he does not paint on canvas or on paper, the artist uses his body to be drawn its lines and points up losing his identity.
Deviprasad is interested in the protection of animals. He helps Atul Sarin to find adoptive families for stray dogs and cats in Goa, you can even adopt a three legs’ cow … Check out the “Pet Life” group on Facebook to contact Atul.
India may have lost a spy, but wins one of its most talented artists.
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C’est en toute simplicité que Deviprasad C Rao nous a reçu autour d’une tasse de thé en compagnie de ses chats et chiens.
“Enfant, j’ai toujours dessiné, j’ai toujours aimé les couleurs, mais je ne me suis jamais projeté comme artiste. Je rêvais d’être architecte, policier ou même espion !” Il poursuit des études de marketing et travaille comme Public Relation puis comme journaliste-reporter au Times Of India, Indian Express…
En 1988, il décide de tourner le dos à cette vie pour aller vers ce qui l’a toujours attiré : la peinture et le dessin. En 2002, lors d’un voyage en Espagne il découvre Barcelone et ses maîtres Gaudi et Miró. Il invente alors son propre langage fait de lignes, de points, de dessins, d’esquisses. Il est inspiré par Miró et Jackson Pollock.
” Mes toiles sont des cartes, des paysages vus du ciel. D’ailleurs lorsque je voyage en avion, je veux toujours être assis près du hublot et du décollage à l’atterrissage, je regarde en bas et mémorise les contours, les couleurs, les lignes et les points. Je recrée ensuite ces visions, je termine toujours mes toiles avec les traits et le dipping”.
Dès 2004, il s’installe à Goa et continue sans cesse à créer son monde. La méditation l’aide beaucoup avant de commencer une oeuvre. Il y explore sa propre identité, ses intuitions, sa spontanéité. ” L’enfant en moi me surprend toujours. Il n’y a pas de rêve, mais des visions et des désirs”.
Et s’il ne peint pas sur toile ou sur papier, l’artiste utilise son propre corps pour y tracer ses lignes et ses points, jusqu’a en perdre son identité.
Deviprasad s’intéresse à la protection des animaux. Il aide Atul Sarin pour trouver des familles d’adoption pour les chiens et chats errants de Goa, vous pouvez même adopter une vache a 3 pattes… Allez voir le group “Pet Life” sur Facebook pour prendre contact avec Atul.
L’Inde a peut être perdu un espion, mais elle a gagné l’un de ses plus talentueux artistes.